Le Canada continue d'utiliser des drones chinois
Un rapport d'enquête du Journal de Montréal a souligné que la Sûreté du Québec, la police montée sur le plan royal (GRC) et même l'armée canadienne utilisent des drones chinois qui sont bon marché et faciles à pirater.
La GRC confirme qu'il a 400 drones chinois. La police provinciale du Québec a également déclaré qu'il y en avait plusieurs, mais ne pouvaient pas donner de nombre exact. Le ministère de la Sécurité publique du Québec utilise également des drones DJI.
Police provinciale du Québec (Sûreté du Québec).
Police provinciale du Québec (Sûreté du Québec).
Photo: Radio-Canada / Martin Bilodeau
DJI domine le marché mondial des ventes de drones mais a fait l'objet d'un incendie répété ces dernières années. L'armée américaine a interdit l'utilisation des drones DJI depuis 2017; La société a été incluse dans la société de risques de sécurité nationale américaine noire à partir de 2020. Les États-Unis affirment que les drones DJI ont été utilisés pour surveiller les Ouïghours dans le Xinjiang en 2017.
Le gouvernement ukrainien a également appelé le DJI à mettre fin à la coopération avec la Russie en 2022. Depuis mai de l'année dernière, le ministère de la Défense australien a également interdit le vol de tous les drones DJI.
L'agence canadienne ne voit aucun risque de sécurité
Cependant, les agences canadiennes utilisant des drones DJI disent qu'il n'y a aucun risque de sécurité de leur utilisation.
Le porte-parole de la GRC, Kim Chamberland, a déclaré que les images recueillies par les drones n'étaient pas des informations sensibles.
Benoit Richard, porte-parole de la police provinciale du Québec, a déclaré que l'utilisation des drones sera limitée et ne sera utilisée que dans des opérations spécifiques.
Les forces armées canadiennes, qui indiquent qu'elle n'a qu'un petit nombre de drones DJI, dit qu'il n'est utilisé que pour étudier le fonctionnement des drones et pour prendre des images non classifiées.
D'autres organisations, dont Transport Canada et le Transportation Safety Board, ont également déclaré qu'elles utilisaient des drones DJI pour l'imagerie aérienne.
Le ministère de la Sécurité publique du Québec a déclaré avoir utilisé les sept drones DJI du ministère pour les inspections sur le terrain et ne pensait pas qu'il y avait un risque de sécurité d'espionnage.
Pas sans risque
Cependant, une équipe de recherche du Horst Görtz Institute pour la sécurité informatique de Ruhr-Universität Bochum en Allemagne a prouvé en mars de cette année que l'utilisation de drones DJI n'est pas impossible. risque.
Les chercheurs disent que le logiciel DJI Drone Security peut être facilement contourné. Les pirates ou les organisations ayant des intentions malveillantes peuvent facilement déterminer l'emplacement d'un drone, modifier son numéro de série ou empêcher les utilisateurs de suivre sa trajectoire.
Certains experts estiment que l'utilisation par le Canada de ces drones chinois bon marché montre à nouveau sa faiblesse dans la sécurité nationale.
Panier (0) 
Numérisation à visiter
